La beauté de Neven (Libre à qui veut bien joindre!)

Cela faisait déjà quelques jours que notre très séduisant mercenaire avait quitté la cité de Makathan pour venir à Nevan, mais ce n’est qu’en cette soirée, magnifique malgré la pluie, que Constantin mis finalement le pied à terre. Jusqu’à présent la cité lui avait semblé des plus magnifique. Qu’il s’agisse de l’architecture Nevanne ou bien de la gente féminine originaire de l’endroit, Constantin pouvait ce dire qu’il n’avait pas fait le voyage pour rien. Le bruit des sabots de Jubal ce mêlait harmoniquement avec la plus tombante. Trottant tranquillement à travers les rues de la cité, notre charmant protagoniste n’avait aucune idée où aller. La capuche écarlate de sa cape couvrait pratiquement son sublime visage, alors il était en ce moment quasi impossible de distinguer les moindres traits de son visage puisque la pénombre nocturne rendait la visibilité encore plus réduite. Ah si ce n’aurait été que la pénombre nocturne et sa capuche, tout être à l’œil averti aurait pu voir un peu de qui il s’agissait, mais puisque la pluie avait choisie de s’en mêler, notre sublime Constantin faisait à présent qu’ombre sous le draps obscure de la nuit. Les nuages cachaient complètement la lune et les étoiles.

Ce baladant en solitaire, enfin pas vraiment si solitaire que ça puisqu’il était accompagné de Jubal, Constantin observait les alentours, cherchant un endroit ou il pourrait passer du bon temps. Ce n’est que suite à plusieurs minutes à ce balader dans la cité que notre charmant protagoniste découvrit l’endroit parfait, la taverne de Nevan. Notre séduisant protagoniste s’y rendit donc. Il descendit de sa monture puis l’attela. Les mains fines, mais fortes de Constantin caressèrent la jupe humide de Jubal avant de lui murmurer doucement à l’oreille en Lespuréen, car il ne faut pas oublier que c’est le seul dialecte que l’entier comprend.

« Inquiète toi pas mon grand, je ne vais pas y passer toute la soirée. »

Constantin tapota alors doucement le cou de sa monture, puis laissa glisser sa main sur cette dernière avant de faire face à l’entrer de la taverne. Les douces et sombres prunelles du mercenaire étaient à présent en direction de l’affiche accrochée au bâtiment. Une chance que ce dernier comprenait bien le Nevan, sinon il n’aurait sans doute jamais su de quoi il s’agissait.

« Au joyeux chien de guerre… ma foie! Cela me semble bien charmant comme endroit… on y voit tout de suite quel genre d’ambiance il y a… »

Il dit cela de façon un peu ironique tout en souriant. Ayant fréquenté un grand nombre de taverne et d’auberge, il s’avait que parfois le nom n’avait rien à voir avec l’endroit, mais que la plus part du temps le nom était étrangement très représentatif. Enfin, il en aura le cœur net lorsqu’il entrera finalement dans ce charmant endroit. Il fit donc quelque pas avant d’atteindre la porte d’entrée.
En entrant, même pas besoin de faire un premier pas dans l’établissement, on pouvait immédiatement ressentir l’ambiance. L’alcool ce soir coulait à flot et au premier coup d’œil, les femmes semblaient être des plus ravissante. Certes quelques têtes c’était retourné alors que l’ombre écarlate entra, mais rapidement les prunelles qui étaient fixées sur ce dernier trouvèrent quelque chose d’autre à regarder.

C’est avec grâce qu’il ce découvrit. Ses doigts poussèrent la capuche de sa cape vers l’arrière pour ensuite ce glisser entre ses cheveux afin de faire légèrement sortir sa sublime crinière de sa cape. Jetant alors un rapide regard sur les gens de la taverne, il ne pu s’empêcher de remarquer un groupe de charmante demoiselle qu’il salua. Le doux et sombre regard du Lespuréen était aussi charmant qu’à l’habitude, ses prunelles tels un sanctuaire arcan ne laissa pas les charmante déesses indifférentes. Bien qu’il les eu salué, il ne ce dirigea nullement vers elles.
Les bottes pleines de boue laissèrent des traces alors que le mercenaire s’avançait à travers la foule de gens qui avait dans la taverne. Les gens semblaient être bel et bien joyeux pour la majorité, mais était-ce tous des chiens de guerre? Notre merveilleux Constantin l’était plus ou moins. Souvent pris au cœur de combats en tant que mercenaire, il n’a cependant pas vraiment de parti pris pour qui que ce soit. Enfin, sans doute l’épée dans son fourreau qui pendait de sa ceinture et la dague laissait transparaître le côté guerrier de ce dernier, mais cela ne faisait pas de lui un soldat.

Enfin, notre séduisant protagoniste fit signe au tenancier de l’endroit tout en prenant candidement place à une table qui ce trouvait un peu à l’écart des autres. Après un si long voyage Constantin avait bien droit à un verre non? En tout les cas, il essaierait de ne pas s’éterniser dans la taverne, car le pauvre attendait à l’extérieur sous la pluie. Enfin ce n’est pas comme si l’entier à robe brune ne c’était jamais mouillé les pattes! Sous la pluie ou sous un soleil de plomb, été comme hiver rien ne semblait pouvoir ce mettre à travers du chemin de notre magnifique duo.

Assit patiemment à sa table, Constantin attendit que le tenancier vienne lui apporter son verre. Il n’eu le temps que de prendre une gorgé avant que les séduisantes dame d’origine Nevanne qu’il avait salué en arrivant viennent le rejoindre. Une fois de plus, le charme de Constantin ne l’avait pas laissé tomber.

« Pouvons-nous nous joindre à vous magnifique étranger » Lui dit l’une d’entre elle tout en lui souriant.

Comment refuser une telle offre pensa Constantin. Souriant gentiment, il tapota une chaise non loin de lui tout en s’exclamant avec le meilleur Nevan qu’il puisse parler. Malgré sont accent Lespuréen, qui ne faisait que rendre sa voix encore plus attrayante et séductrice, le Nevan de Constantin était loin d’être mauvais. Ironiquement, il semblait avoir une certaine facilité pour les langues.

« Comment puis-je refuser une telle offre lorsqu’elle est proposé par de si jolies demoiselles! »

Alors que deux d’entre elles prirent place sur les chaises tout en se rapprochant de Constantin, notre mercenaire pris la troisième par la main afin de la faire s’assoire sur ses cuisse. Toujours aussi envoûteur, notre séduisant protagoniste s’exclama à nouveau.

« On m’a jadis raconté à propos de la beauté Nevanne, mais jusqu’à aujourd’hui j’ai toujours cru qu’il s’agissait d’un mythe… mais à présent je vois que les fables à votre sujets ne sont pas à la hauteur de votre charme! »

Il fit les fit rougir… comme si il ne s’y attendait pas! Enlaça d’un bras celle qui était sur ses cuisse, Constantin admirait la beauté de ses trois compagne.